1 original + 1 reprise
Un choix un peu spécial aujourd'hui, mais tous les genres musicaux proposent de bons morceaux.
Et bien sûr et pour les gourmand(e)s.
Nothing else matters
Nothing Else Matters est une chanson de Metallica, groupe de Heavy Metal américain, formé en 1981. Elle est la première grande balade du groupe et fait partie de l’album Metallica (souvent appelé Black Album), sorti en 1991.
Cette musique est à la première écoute une chanson lente, justifiée par le sens de ses paroles, qui expriment la tristesse du chanteur d'avoir été séparé d'une personne qu'il aime.
Il insiste sur le fait que, même séparés, les hommes doivent se souvenir de ce qu'ils ont ressenti. Cette chanson vante aussi la force de l'amour, qui est considéré comme une confiance réciproque ouvrant vers de nouveaux horizons, elle souligne aussi indirectement que même séparés, les êtres continuent de s'aimer. La chanson parle de certains aspects de la vie : il faut croire en soi-même quoi qu'il arrive, il faut vivre sa vie sans être influencé par les autres, il faut chaque jour ressentir de nouvelles choses, et aborde le thème de l'indépendance, possible si l'on ignore les pensées des autres. Et rien d'autre ne compte (nothing else matters). Cette phrase est écrite dès le titre de la chanson et est récurrente à chaque fin de couplet.
Au niveau du son, la musique est très douce, moins violente que les précédentes créations du groupe, l'introduction (devenue mythique et très apprise par les joueurs de guitare amateurs) est mélodieuse et ceci n'est pas en contradiction avec le reste de la chanson : les couplets sont calmes et le changement de rythme lors du refrain reste bien dosé.
Nothing else matters est une des plus grande réussites du groupe, non seulement par sa musique et ses paroles, mais aussi par le fait que c'est elle qui a permis de rendre le Métal accessible à plus de monde. La chanson a été reprise maintes et maintes fois, par Metallica comme par d'autres groupes (dont les instruments vont du piano aux violoncelles).
Metallica 1991
Apocalyptica 1998
J'aime les deux, mais j'aime surtout Apocalyptica. Vous vous souvenez, je vous en avais déjà parlé ici